jeudi 22 décembre 2016

Tu ne tueras pas ... ou alors juste ceux qui ne pensent pas comme toi !



La genèse… selon le vieil Henri.

Il était une fois dans un lieu inconnu un point que l'on présume minuscule et très chaud. Il y a treize milliards huit cents millions d'années, à un ou deux jours près, cette singularité atteignit une telle température qu'un beau jour elle fit " bang " et devint énorme, c'est pourquoi on l'appela le Big Bang. Si ce n'est pas tout à fait vrai c'est bien trouvé .
Ne zappez pas, la suite va vous divertir !
 Cette pure énergie devint antimatière et matière qui se détruisaient mutuellement en une grande explosion à chaque rencontre, heureusement la matière gagna la bataille grâce aux neutrinos. D'abord particules simples elle s'organisa en atomes, molécules, gaz, trous noirs, étoiles qui forgèrent les éléments lourds constitutifs de toutes choses, galaxies, amas, supers amas. L'univers était né.
 Bien plus tard dans un coin reculé de cet univers, aux confins de la banlieue tranquille d'une petite galaxie une étoile s'alluma, les gaz et la poussière non utilisés par l'étoile s'agrégèrent sous l'effet de la gravité et formèrent des planètes.
 Sur une des planètes un phénomène étrange que l'on nomma  la vie émergea de l'inanimé puis tout alla très vite. Il y eut des êtres unicellulaires, des organismes pluricellulaires, végétaux, animaux et soudain, sans doute issue d'une aberration génétique, surgit une espèce surprenante douée d'intelligence et de conscience.
Les membres de cette race avaient une vie très brève, 100 ans pour les plus chanceux, un battement de cil au regard du temps cosmologique. On pourrait  penser qu'ils profitaient raisonnablement et intensément de chaque moment de cette courte existence, c'était mal les connaître,  la mort les terrifiait ils voulurent la nier, où tout au moins l'exorciser.
Ils imaginèrent donc qu'ils avaient été créés par un être supérieur particulièrement sadique qui passait son temps à les observer, comptabilisait et jugeait leurs actions pour distribuer des récompenses après leur mort : la vie éternelle dans un lieu idyllique le paradis, ou infliger des punitions : la vie éternelle en enfer lieu de tourments.
Comme ils ne parlaient pas tous la même langue puisqu' issus de contrées éloignées  ils donnèrent à l'être supérieur des noms différents, exprimant pourtant le même concept : Dieu, Allah, Jehova, Yahvé, Vishnou, Osiris, Râ, Aton, Quetzalcóatl, Viracocha,  grand Manitou ou autres, conçurent des rituels bizarres pour le vénérer ou l'apprivoiser, inventèrent des interdits sexuels, vestimentaires, alimentaires ou des obligations qui donnèrent du pouvoir à quelques uns d'entre eux et pourrirent l'existence des autres. Certains se laissèrent pousser la barbe, d'autres se rasèrent la tête, portèrent un chapeau, un turban, se tatouèrent l'épiderme ou se percèrent la peau, ils s'habillèrent en noir, en blanc, en orange ou restèrent presque nus.
 Chacun d'eux considérant que sa manière de rendre grâce à l'être suprême était excellente et celle des autres exécrable ils commencèrent à s'entretuer en son nom, bien qu'il fut décrit par leurs livres sacrés comme bon et miséricordieux et leur ait donné comme premier commandement : Tu ne tueras point ! Curieusement il les laissa faire.
  Ne pouvant assumer la responsabilité de leur méchanceté ils inventèrent une entité censée être la cause de leur comportement meurtrier et là pour une fois ils furent en accord sur son nom : Satan. Ils décrétèrent que toutes leurs saloperies étaient téléguidées par ce diable, bouc émissaire bien commode.
C'est pourquoi depuis, en se traitant d'hérétiques ou de mécréants les hommes s'assassinent, philosophie bizarre et curieuse façon de rendre grâce au créateur en détruisant  ses créatures.

Ainsi sont-ils !


lundi 19 décembre 2016

Règle n° 3. Libérez vous du regard des autres.

Être adulte c'est, entre autre, savoir s'affranchir du regard des autres.

Trois niveaux de perception nous préoccupent :

Comme on se voit (et souvent on n'aime pas se regarder.)
Comme les autres nous voient
Comme on croit que les autres nous voient.

 Inconsciemment nous adaptons notre comportement en fonction de la manière dont nous croyons que les autres nous voient .. et nous avons tout faux. Ce n'est pas pour rien que les people soignent et orientent leur image, mot qui signifie en langage de communiquant : voilà ce qu'il faut voir de moi, ce que je suis réellement ne vous regarde pas.
Combien de fois n'avez vous pas entrepris une action, satisfait une envie ou un besoin par peur du regard des autres?
Vivre c'est agir. Agissez sans vous préoccuper de la manière dont les autres vous jugent, de toute façon vous n'avez que peu d'importance pour autrui, beaucoup moins que vous ne le pensez. Chaque personne vit dans un univers qui nous échappera toujours, alors défendez le vôtre en priorité, un égoïsme intelligent est préférable à un altruisme inconsidéré.
Et si ON se moque de ce que vous faites, souvenez vous qu'un moqueur assis va moins loin que Vous qui avancez et méditez les paroles de mon vieil instituteur:

ON, pronom imbécile qui qualifie celui qui l'emploie.



Savoir écouter ( bis )

Dans mon dernier article nous parlions de l'écoute et je voudrais compléter mon propos. Dans mon entourage, comme dans le vôtre sans doute, des couples se défont et j'ai découvert une réalité surprenante. Celle ou celui qui est quitté se plaint d'être abandonné subitement. Après enquête il s'avère que ce mot est tout sauf juste. Le conjoint ou compagnon qui s'en va, pendant des semaines, des mois , quelquefois des années a émis tout d'abord des signaux faibles de mal-être que l'autre n'a pas entendus ou pas voulu entendre puis des signaux de plus en plus forts toujours incompris et sans réponse qui ont abouti un beau matin à une rupture que les sourds à qui ces alertes étaient destinées qualifient de subite. 
Certains diront que j'enfonce une porte ouverte mais si tout le monde sait ça pourquoi cette erreur se perpétue t-elle génération après génération  ?                 

vendredi 9 décembre 2016

Règle n° 2 Savoir écouter

Savoir écouter.

Notre monde est régi par l'image, l'instantanéité, le zapping. Personne n'écoute plus personne, alors celui qui sait écouter possède une grande richesse .

Je vais vous expliquer la complexité de la communication entre les êtres.

Le cerveau humain, merveille de la création ou de l'évolution, plus gros organe sexuel chez l'homme fonctionne en interconnectant trois systèmes très différents. Imaginez trois cercles concentriques :

Le cortical, siège de l'intelligence humaine, fort de ses milliards de neurones câblés en arborescence se reconfigurant sans cesse, serait le plus petit cercle emprisonné par les deux autres cercles.

Le limbique, siège de l'émotionnel serait le cercle du milieu.

Le reptilien, gérant les besoins primaires serait le cercle extérieur qui enferme les deux autres. Ce dernier se comporte en tyran, prioritaire il prend le contrôle de l'ensemble des systèmes en cas d'urgence. Contrairement au cortical il agit en binaire ouvert-fermé, 0-1, oui-non.
Le problème réside dans la réalité suivante:  si deux intelligences corticales veulent communiquer elles doivent obligatoirement passer chacune par le filtre de son limbique émotionnel et celui de son reptilien primaire, vous imaginez le boulot et la raison des incompréhensions.

Pour dire les choses plus simplement, même si votre interlocuteur est le plus intelligent de la terre, une envie pressante de faire pipi ou une sensation d'hostilité, même imaginaire  bloquera votre faculté d'écoute.

Autre problème, nous avons tous trois manières d'être perçus :
- comme on se voit
- comme les autres nous voient
- comme l'on croit que les autres nous voient. Notre comportement, donc notre façon de communiquer, instinctivement, est dictée par la manière dont on croit que les autres nous voient.

Autre problème chacun d'entre nous est un univers dans lequel les mots, les concepts n'ont pas toujours la même signification

Alors si vous voulez écouter ou être entendu
1- Ne préjugez pas de la manière dont votre interlocuteur vous juge, soyez vous-même, ce qui n'est pas simple , ne vous demandez pas ce qu'il pense de vous, en vous interrogeant vous n'écoutez déjà plus et vous passez peut-être à côté d'une information cruciale pour vous.
2- Rendez accessible le cerveau cortical de votre vis à vis après avoir apprivoisé son cerveau reptilien et son limbique en émettant trois types de signaux comportementaux : je ne représente aucun danger pour vous, j'ai du plaisir à discuter avec vous, j'ai de l'affection pour vous.
3- Vérifiez que vous êtes bien en phase avec la compréhension

 Il n'est pas impossible que vous pensiez que je suis très chiant et bien compliqué dans ma tête, en fait  la connaissance bien intégrée de ce qui vient d'être dit vous permettra d'être celui ou celle avec qui on a plaisir à discuter, discussion créatrice de richesses de toutes natures.

Bon allez je vous laisse regarder Koh  Lanta .

samedi 3 décembre 2016

Quelques règles pour réussir.

Comme je vous aime bien je vais vous révéler quelques règles qui m'ont permis de réussir à peu - près dans la vie.
Comme toutes règles, elles vont vous paraître évidentes, en fait elles sont difficiles à mettre en œuvre car nécessitent une grande rigueur  mais soyez honnête avec vous-même et notez chaque jour le nombre de fois où vous ne les aurez pas appliquées.
Je vous assure que votre vie changera dès que vous les respecterez.
Chiche?


Règle n° 1 :

NE JAMAIS CROIRE UNE INFORMATION TANT QUE VOUS NE L'AUREZ PAS VÉRIFIÉE PAR VOUS MÊME.


samedi 22 octobre 2016

C'est mon anniversaire, beurk!!!

 Bonjour. Aujourd'hui je vais vous parler un peu de moi, je sais je suis un peu cabot mais les réseaux sociaux sont faits pour ça, non ?
 Voilà c'est arrivé, j'ai 68 ans ! et oui.
 Depuis toujours je n'aime pas fêter mes anniversaires, glorifier ce jour où on me rappelle avec insistance qu'il me reste un an de moins à vivre me parait indécent. D'un autre côté, rappeler que le moment où j'ai accédé à l'existence constitue une bonne nouvelle pour l'humanité est assez flatteur hé hé.
 Il serait sans doute de bon ton de se plaindre des douleurs, des absences de mémoire, de regretter le bon vieux temps, je vais vous décevoir.
Je suis dans une forme éblouissante, aucune douleur nulle part, une mémoire surprenante, tous les vers contenus dans les textes de mon blog que vous lisez peut-être sortent de mon cerveau sans avoir recours à aucun pense - bête, et pour moi le bon vieux temps, c'est aujourd'hui.
La nostalgie est réservée à ceux dont le présent semble moins beau que le passé (souvent idéalisé). 

 Dans la vie j'ai eu beaucoup de chance ( c'est le mot qu' emploient les perdants de l'existence pour envier ceux qui ont pris les bonnes décisions au bon moment ) et j'ai fait preuve d'un égoïsme raisonnable qui est ni plus ni moins que de la sagesse.
Quelques vers que je vous sors tout chauds  de ma mémoire :
Quand revient le temps de l'automne,                                
 je pense à tout ce temps perdu,
 je n'ai fait de mal à personne
 je n'ai pas fait de bien non plus 
 et j'ai le cœur gros .
Et bien non, je n'ai pas le cœur gros, ne pas faire de mal par les temps qui courent c'est déjà beaucoup. Je vais continuer à vivre en essayant de rendre heureux les gens que j'aime et ce n'est déjà pas facile.



et je vous aime à tous comme disent les pieds noirs que je salue.

A l'année prochaine en espérant vous y retrouver tous en forme .

Bises.

mardi 27 septembre 2016

Nous nous reverrons après cette parenthèse (studieuse)







Le livre premier d’Eden “Le serpent qui siffle dans ma tête” est sorti l’année dernière et le livre second “L’ange de la mort est assis sur mon banc”. lui a emboîté le pas au mois de juin dernier .

Tous les témoignages des lecteurs concordent : vous avez adoré ! Nous en sommes très fiers ! :-)

Durant de longs mois, nous avons animé avec vigueur les réseaux sociaux d’Eden (le blog ici, vu par plus de 17 800 lecteurs, notre page Facebook, notre compte Twitter). Vos likes et partages nous ont fait immensément plaisir et nous tenions à vous remercier.

Mais voilà, provisoirement nous avons choisi d’être moins présents. Nous avons bien entamé l’écriture du livre troisième de la trilogie d’Eden et cela prend du temps ! Surtout qu’il s’agit d’une co-écriture…

Ces prochains mois nous aurons donc besoin de toute la concentration et la créativité nécessaires pour que le final de cette trilogie soit un véritable feu d'artifice.

Nous resterons bien entendu très sensibles à toutes vos marques de sympathie.                                          
A très bientôt !


         

lundi 12 septembre 2016

Un lecteur nous écrit : J'ai failli tomber de ma chaise.



Lettre d'un lecteur du Var.

Bonjour.

Comme votre vieil Henri je lisais tranquillement le second tome de votre trilogie d'Eden intitulé: l'ange de la mort est assis sur mon banc quand, au détour d'un chapitre j'ai failli tomber de ma chaise. (c'est une image, en fait j'étais couché dans l"herbe à Milan) )

Mine de rien, en passant, avec votre air de ne pas y toucher  :

-  Vous donnez la solution de l'énigme du masque de fer,

 Vous expliquez 

- pourquoi la survie de l'esprit après la mort est possible et probable, 
- la nature du tunnel et de la lumière décrits par les rescapés ayant vécu une expérience de  mort imminente,  
- pourquoi Dieu n'intervient jamais dans les affaires des hommes,
- pourquoi le destin des humains n'est pas écrit d'avance, 
- comment un homme politique s'est peut-être fait piégé  etc..,

 tout cela en quelques phrases , alors que chacun de ces concepts nécessiterait un livre à lui tout seul.Là je me suis dit  que sous les apparences d'un thriller déjanté se profilait à l'horizon une histoire ravageuse.

Intrigué, je me suis un peu mieux penché sur les indices permettant d'accéder au secret du vieil Henri. J'avoue que j'étais complètement passé à côté je n'avais pas vu que tous les éléments du puzzle étaient présents  mais je crois que j'ai trouvé. Si c'est que je pense, je me rends compte  que vous, les  auteurs vous êtes complètement fous… ou géniaux. En tout cas, se cache dans cette trilogie, pour ceux qui savent lire, la promesse d'une suite hallucinante.         
Vivement le troisième, J'en frissonne déjà.
Par contre je confirme.  Comme vous dites : Ames sensibles et zappeurs s'abstenir.

Où trouver votre roman à suspens de la rentrée ?

Commandez en quelques clics Eden, L’ange de la mort est assis sur mon banc en format papier ou numérique :



dimanche 28 août 2016

Une catastrophe sans précédent


La semaine  dernière, nous avons assisté à un cataclysme sans équivalent dans l'histoire, j'ose à peine l'écrire : une femme accompagnait quelques enfants en portant un voile sur la tête !

Pour éclairer les quelques réflexions que m'inspire  cette catastrophe, sachez que je suis né à Morestel ( Isère ) d'une mère isèroise et d'un père picard.
 Ma famille habitait près du presbytère qui touchait à l'église, 100 m plus loin se trouvait un couvent de religieuses franciscaines puis une mission où venaient se ressourcer des "pères blancs" fatigués d'expliquer à la population africaine que leurs ancêtres étaient des gaulois et qu'un certain Jésus était mort sur la croix en rémission de leurs péchés, ce qui laissait parait-il les pauvres noirs pantois, ils n'en demandaient pas tant, juste qu'on leur foute la paix et qu'ils puissent bouffer à leur faim.

Comme tout ce qui est excessif finit par devenir insignifiant, lassé des messes, vêpres, saluts, confessions et autres joyeusetés, un beau jour je décidai d'envoyer tout ce beau monde voir ailleurs si j'y étais et me suis converti à l' athéisme, ne me sentant pas responsable d'un péché originel incompréhensible qui m'aurait obligé à vivre en regrettant mes fautes comptabilisées par un être suprême particulièrement sadique qui me proposait des plaisirs de l'existence pour ensuite me les  reprocher.
 Comme disait un poète arabe : Une vie sans péché quel goût a t'elle ? si tu réponds au mal que je fais par le mal quelle est la différence entre toi et moi ?

Bref vous avez compris, pour moi toutes les religions sont devenus synonymes de conneries et ennui profond, mais cela n'engage que moi et me donne la distance nécessaire pour exposer ma pensée.

Le voile ( je ne parle pas de la burqa) mettrait donc en danger la société française, deviendrait le symbole de l'asservissement de la femme et  le cheval de Troie qui allait permettre aux aimables barbus fondamentalistes de couvrir le joli corps de nos compagnes occidentales et le soustraire à notre vue réjouie et néanmoins raisonnable, l'immense majorité de nos contemporains étant capable d'admirer la plastique féminine sans se croire obligé de lui sauter dessus pour lui faire subir les derniers outrages.

Comme tout le monde mon premier réflexe a été de foncer tête baissée contre cette muleta ainsi agitée devant mes yeux indignés, puis je me suis avisé que n'étant pas un taureau ( enfin ça dépend des circonstances, j' m' comprends) il était urgent de réfléchir.

Au cours de ma longue carrière j'ai côtoyer de très près des familles maghrébines musulmanes.
Nourri des à priori liés à cette religion je m'attendais à voir des femmes malheureuses et soumises à leur tortionnaire de mari, que nenni !

 Comme partout, les épouses étaient le pilier de la famille, n'hésitant pas à donner de la voix contre un mari qui rentrait en retard ou qui regardait un peu trop la femme du voisin, comme partout elles se pliaient à la mode ou à la coutume, respectaient les interdits et obligations alimentaires, sexuels ou vestimentaires, ni plus ni moins que les autres.
Je m'inscris donc en faux, moi l'Athée farouche contre l'argument selon lequel le voile serait un instrument d'asservissement et une incitation au terrorisme, d'autant que cette pièce d'habillement n'est pas suffisante  pour les fondamentalistes qui le trouve beaucoup trop impudique.
 La vertu devient rigide quand le reste s'amollit.

Je comprends bien la crainte, justifiée, que quelques agité(e)s du bocal nous inspirent, ne nous trompons pas, les terroristes sont autant masculins que féminines.

 Chaque religion, de tous temps, a été le prétexte à toutes les ignominies et a accouché de forcenés qui, considérant que leur manière de rendre grâce à l'être suprême nommé Dieu, Allah, Jéhovah, Quetzalcóatl ou Grand Manitou était excellente et celle des autres exécrable ne pensaient qu'à s’entre tuer au nom de celui que leurs livres sacrés décrivent comme bon et miséricordieux et donne comme premier commandement tu ne tueras point.
 Bien sûr, compte tenu du contexte meurtrier  lié à des prétextes religieux, il aurait peut-être été souhaitable et raisonnable que l'on évite provisoirement d'agiter ces chiffons que certains voient rouges ce qui est leur droit, mais  devraient également, ce qui serait leur devoir, relativiser pour ce qu'ils sont. 

Moi, modeste français moyen, j'en ai un peu marre de passer pour un con aux yeux du monde entier avec cette histoire de voile qui occupe premier ministre, ministres, députés, commentateurs, experts télés, radio, journaux à longueur de journée sur ce sujet hautement métaphysique :  interdirons-nous ou pas le voile ? Tant qu'à prendre des décisions  fortes  j'aimerais aussi qu'on interdise les casquettes à carreaux.

Que nos sœurs en humanité se rassurent, voilées ou non,  elles seront toujours pour nous, pauvres diables d'hommes, l'alpha et l' oméga des bonheurs de la vie.

   Evidemment il faut rester vigilant et défendre nos valeurs et notre style de vie, notre droit à croire ou ne pas croire, d 'autres batailles autrement cruciales nous attendent mais il faut aussi raison garder.

 Peut-être aurions-nous  pu mettre autant de vigueur à protéger les 120 femmes françaises qui succombent chaque année sous les coups de leur courageux conjoint dans l'indifférence, démontrant ainsi l'impuissance des mêmes gouvernants bavards. 

Il est vrai qu'elles ont été battues à mort mais sans être voilées, ce qui montre quand même la supériorité de notre civilisation, on ne peut pas tout avoir !

Je me marrerais si je n'avais pas envie de pleurer !




samedi 27 août 2016

Chemin de Compostelle : attention danger !

Pour ceux qui  :

Sont déjà aller marcher

Sont en train de marcher

Vont bientôt aller marcher

Sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle:

Il faut absolument que vous lisiez le livre premier de la trilogie d'Eden intitulé Le serpent qui siffle dans ma tête.

Une partie importante de l'aventure se déroule sur le Camino Francese.         
 Si vous passez à Aumont d'Aubrac, Gréalou, Moissac ou Eauze vous ne verrez plus le paysage du même œil.


 

 





mercredi 17 août 2016

Trouvez l'erreur et gagnez...

Comme nous sommes joueurs, nous avons glissé une erreur dans le texte d' une des pages de notre second tome, personne ne semble l'avoir vue. La première personne qui la trouve gagne ... toute notre sympathie et un livre pour la personne de son choix.
Alors soyez forts et perspicaces !
Si personne n'a trouvé , demain 1er indice.

Le saviez - vous ?

Je viens de réaliser une chose étonnante.
Il sort en France environ 200,  oui vous avez bien lu, deux cents livres nouveaux chaque jour ...
Certains éditeurs reçoivent un manuscrit toutes les douze secondes .
Et alors me direz vous?
Et alors je viens de me rendre compte que le simple fait d'exister pour nos livres, à l'issue d'un parcours du combattant épique, relève tout bonnement du miracle .
A partir de demain j'aimerais que nous, humbles auteurs mais néanmoins miraculés sinon miraculeux, soyons désormais appelés Saint Serge et Sainte Cécile.

vendredi 12 août 2016

Si vous allez à Rome...

Partir en vacances sans emporter dans ses bagages les deux premiers tomes de la trilogie Eden c'est comme aller à Rome sans voir le Vatican.
Vatican dont il sera fortement question dans le troisième tome.
Vous n'êtes pas au bout de vos surprises.
Bonnes vacances !

lundi 18 juillet 2016

Livre second d’Eden la trilogie, le roman plaisir de l'été.


Vient de sortir aux Editions Baudelaire le second opus des aventures d’Eden :
L’ange de la mort est assis sur mon banc, thriller fou et ode à la liberté d’une étrange héroïne du 21ème siècle.

Le livre premier a connu un grand succès (+ d’infos), ses auteurs n’allaient pas s’arrêter là.

Le livre second de la trilogie d’Eden vous permettra de vous évader de votre quotidien, de vous  distraire pendant vos vacances et d'oublier pour un temps les médiocrités de cette télé qui se dit réalité.

... Et nul besoin d'avoir lu le livre premier pour suivre et apprécier le second !

Henri, beau nonagénaire un peu déjanté, habite un petit village du Gers. La région est en effervescence, les journaux écrits et télévisés font leurs gros titres sur quatre morts violentes s'étant produites le long du chemin qui passe près de la petite maison du vieillard et mène les pèlerins à Saint Jacques de Compostelle, le Camino Francès, rebaptisé par un journaliste inspiré le chemin meurtrier.

Lundi 17 mai 2010, comme chaque jour le vieil Henri se rend sur la place de l'église et là, assise sur le banc vert où il rejoint habituellement ses rares copains encore vivants, une jeune femme sublimissime mange tranquillement un sandwich. Ils échangent quelques mots ...et il se retrouvé mêlé bien malgré lui à une histoire hallucinante.

Romance, sang, érotisme, machiavélisme, religion et humour sont au programme, mais pas seulement. L’ouvrage nous éclaire sur des énigmes anciennes et des événements politiques récents. Un récit à la fois haletant, passionnant et drôle qui nous emmène du Gers à la Côte d'Azur, de l'Isère à l'Auvergne en passant par New York (ce qui n'est assurément pas le chemin le plus court). Que va-t-il arriver à Eden ? Vous seuls le saurez ! Préparez-vous à voyager et frissonner comme jamais jusqu'aux toutes dernières pages de ce livre étonnant que vous ne pourrez plus lâcher après l'avoir ouvert.
Vous allez adorer ce roman...et détester ses auteurs !

Où le trouver ?

Commandez en quelques clics Eden, L’ange de la mort est assis sur mon banc en format papier ou numérique :


Bonne lecture.

vendredi 8 juillet 2016

Paris sans Notre Dame ? Non !

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie d'Eden dans ses valises c'est comme aller à Paris sans visiter Notre Dame.


Au temps des cathédrales, si Quasimodo, Frollo et Phébus avaient rencontré Eden, ils n' auraient pas eu l'idée de passer les doigts dans les cheveux d' Esmeralda, ni de pousser la porte de son petit jardin, ni d'essayer de cueillir sa fleur d'amour, bref ils lui auraient foutu la paix ce qui lui aurait fait des vacances.

Bon, Victor Hugo n'aurait pas écrit son beau roman mais comme dit le vieil Henri :Celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires.

Je me permets de vous alerter sur une erreur commise par les paroliers de la comédie musicale que personne n'a remarquée : Phébus chante " Ma dulcinée permettez moi d'être infidèle" .
L'action se passe en 1482, or Dulcinée est un personnage de l'histoire de  Don Quichotte  écrite par Cervantès vers 1605 soit 120 ans après.
Voilà, vous n'aviez rien remarqué, heureusement que le vieil Henri à qui on ne la fait pas veille pour vous.

lundi 4 juillet 2016

Athènes sans le Parthénon ? non !

Partir en vacances sans avoir dans ses valises les deux premiers livres de la trilogie d'Eden c'est comme aller à Athènes et ne pas voir le Parthénon.

La mythologie grecque passe sous silence un évènement important.
Si Pâris avait rencontré Eden, il aurait délaissé la belle Hélène qu'il n'aurait pas enlevée sous le nez de son mari Ménélas et de ce fait la guerre de Troie n'avait pas lieu, Achille ne tuait pas Hector, Ulysse restait tranquillement chez lui, il ne construisait pas le cheval de Troie et Homère n'aurait pas écrit l'Iliade et l'Odyssée, c'est bête hein!

Bon , c'est un peu anachronique j'en conviens mais comme dirait le vieil Henri: celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires.

mercredi 22 juin 2016

Eden la trilogie: Saint Gervazy, ravissant village d'Auvergne où se passe une partie du livre second




Eden la trilogie, romans et thrillers français, une histoire folle qui vous transportera de la côte d'Azur à New-York en passant par l'Isère, le Gers, Rome et bien d'autres lieux magnifiques comme Saint Gervazy, délicieux village d'Auvergne. Eden vous fera voyager dans le monde et au travers de sentiments aussi intenses, surprenants et effrayants que le plus époustouflant des grands huit !

vendredi 17 juin 2016

L'inde sans le Taj Mahal ! Non ?

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie d'Eden c'est comme aller en Inde sans visiter le Taj Mahal
 Contrairement à une idée fausse mais très répandue, l'empereur moghol Shâh Jahân n'a pas fait édifier le Taj Mahal pour abriter le tombeau de son épouse, mais pour rendre hommage à la grande beauté d'Eden. Il parait que sur la fin de sa vie il était un peu perturbé de l'avoir rencontrée.

Comment ça ce n'est pas vrai ?

Comme dit le vieil Henri : " Celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires"

Le livre second des aventures d'Eden sera disponible sur les sites marchands dans deux semaines environ. Certains veinards pourront se le procurer en avant-première  demain au bistro'n'home à Montrond les bains ( 42 ) , Cécile sera là entre 15 et 18h pour les dédicaces ,
et à MAG PRESSE, galerie du vallon à  Montauroux ( 83 )


jeudi 16 juin 2016

Réponse de Cécile, coauteure d'Eden, à la notion de blues de l'écrivain

Lundi, en rentrant de chez notre éditeur où nous avons enfin récupéré nos premiers livres, je me suis arrêtée à la maternité de Saint Etienne où venait de naître le magnifique bébé d'un couple d'amis.
Même si la comparaison peut paraître ridicule, je confirme éprouver comme mon coauteur l'incroyable sentiment d'avoir enfanté.
Je ne me moquerai pas de Serge quand il parle d'envie de protection, d'angoisse de l'inconnu, de la perte d'une partie de soi si profondément intime, ni même de son envie de mordre face aux éventuelles critiques.
Le baby-blues , sentiment de dépression apparaissant brusquement, d'autant plus bouleversant qu'il est inexplicable est normal, voire émouvant.Aujourd'hui les hommes et les femmes partagent totalement la naissance et l'éducation d'un enfant.
Fin du cliché des rôles répartis, exit la maternité et la paternité, parlons de "parentanité". Après tout de nos jours hommes et femmes ne sont -ils pas égaux? Notre écriture à 4 mains est un délicieux cocktail contemporain, alors Serge non seulement je respecte votre blues et ne me moque aucunement de cela mais je vais me dévouer en attendant que vous retrouviez vos esprits pour arroser dignement notre fantastique second bébé avec les autres jeunes papas afin de lui porter chance et longue vie.
Preuve est faite par la séance de dédicaces prévue ce samedi 18 juin à Montrond les Bains de 15h à 18h au restaurant Le bistro'n'home.
Venez nombreux vous pourrez adopter notre chef d’œuvre .
Cécile de Laget.