mardi 31 mai 2016

New York sans statue de la liberté ! Non ?

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie d'Eden, c'est comme aller à New York sans visiter la statue de la liberté.
Si vous regardez attentivement la statue, vous verrez que dans sa main gauche elle tient deux livres, en grossissant l'image on distingue distinctement les deux premiers livres de la trilogie d'Eden.

Comment ça je dis n'importe quoi ?

Comme dirait le vieil Henri : " Celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires "

mardi 24 mai 2016

Paris sans la tour Eiffel ? Non !

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie Eden, c'est comme aller à Paris sans visiter le tour Eiffel.


Une légende prétend que lorsqu'il dirigeait l'édification de la tour qui porte son nom, Gustave Eiffel s'isolait régulièrement pour consulter des documents.
Intrigué, un de ses contremaîtres le suivit discrètement un jour et découvrit le pot-aux roses. Gustave Eiffel lisait avidement un livre bleu, premier tome des aventures d'Eden.
Les ouvriers prévenus se cotisèrent pour lui acheter le livre second de cette trilogie.
 Ravi, l'ingénieur paya une tournée générale et décida de doter l'ouvrage en construction d' un étage supplémentaire.
On murmure depuis que c'est grâce à Eden que la fameuse tour a cet aspect si particulier connu dans le monde entier.

Comment ça je raconte des histoires?

Comme dit le vieil Henri " celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires " hé hé .


mercredi 18 mai 2016

L'Egypte sans les pyramides ! Non ?

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie Eden, c'est comme aller en Egypte sans visiter les pyramides .

Une vieille légende prétend que lorsque l'on ouvrit le sarcophage de Khéops, trois trésors étaient glissés entre les bandelettes de lin qui entouraient son corps :
- Une amulette représentant un scarabée, animal sacré.
- Les deux premiers livres de  : Eden, la trilogie.
Les historiens pensent que l'on tient ainsi l'explication du rictus d'effroi encore visible sur le visage de la momie.

Et même si ce n'est pas vrai, c'est bien trouvé hé hé .
Comme dit le vieil Henri " celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires "

vendredi 13 mai 2016

Cannes sans l'escalier du palais des festivals ? Non !

Partir en vacances sans emporter les deux premiers livres de la trilogie d'Eden, c'est comme aller à Cannes sans monter l'escalier du palais des Festivals.


On murmure sur la Croisette que lorsqu' Eden monte l'escalier les journalistes font silence, le service d'ordre se fige et les stars restent cloîtrées dans leur hôtel.

Comme dit le vieil Henri : "Celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires".



jeudi 12 mai 2016

Concours Eden la trilogie

Bonjour chers admiratrices et admirateurs.
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais la langue française, si belle soit-elle, est furieusement machiste, lorsque deux termes se côtoient, un masculin et un féminin, le résultat est toujours un pluriel masculin, c'est fort non?
Bon, ce n'est pas pour ça que je m'adresse à vous belles lectrices et lecteurs ( vous avez vu j'ai appliqué une nouvelle règle, le pluriel est maintenant féminin) actuellement nous faisons un concours qui cartonne sur facebook.
Précipitez vous sur l'adresse facebook : Eden la trilogie et participez au concours, vous pouvez gagner un lingot d'or ou un s u v  Jaguar ou encore quinze jours aux Seychelles.
Non je déconne c'est bien mieux que ça, vous pouvez gagner un exemplaire du premier livre de la Trilogie d'Eden, et pour les lectrices très gentilles on vous offrira peut-être le second livre qui sort fin mai, grands seigneurs non ?
 Allez , bonne soirée mais ne lisez pas nos livres la nuit, vous risquez de faire des cauchemars.

lundi 9 mai 2016

Eden la trilogie ou l'aventure de la co-écriture




Découvrons aujourd’hui Serge Boudoux et Cécile de Laget, co-auteurs des trois romans représentant La Trilogie d 'Eden. Je leur ai demandé entre autres choses, d’où leur était venue cette envie de co-écrire ce thriller fou se déroulant entre la côte d'Azur, les chemins de Saint Jacques de Compostelle, l'Auvergne, l'Isère, la Loire, New-York et d'autres lieux inattendus.


Vanessa : Bonjour à vous deux et merci d’avoir accepté de répondre à mes questions. Pourquoi cette co-écriture ?

Serge : Bonjour Vanessa et merci à vous de nous accorder votre attention. Avec Cécile nous nous sommes rencontrés en 2006 pour le travail, le jeune retraité que je suis voulais démarrer une seconde vie et elle au contraire voulait reprendre son activité professionnelle après une période en tant que mère au foyer. Nous avons donc créé une société en immobilier et très vite avons découvert une passion commune pour la lecture et un profond désir d’écriture. Durant plusieurs années nous avons imaginé des personnages, des situations et au final une véritable histoire.

Cécile : Il faut dire que nous écrivions chacun de notre côté depuis toujours, pour ma part écrire un livre était sur la liste de mes rêves d’enfant.

Vanessa : Comment vous est venue l’idée de créer Eden ? Comment se sont construits les personnages ?

Serge : J'ai fait trois fois, à pied, la partie française du chemin de Saint Jacques de Compostelle (900 km fois 3 donc). Je vais vous surprendre je n'ai pas fait la partie espagnole car je ne voudrais jamais arriver au terme du pèlerinage. Qui dit terme dit fin, pour moi ce serait trop triste, ce qui m'intéresse c'est le voyage, pas la destination. Ce voyage fut une révélation. En revenant j'ai tout abandonné pour changer de vie. Sur le chemin je suis tombé amoureux de la Piéta de Lamothe-Goas dans le Gers, cette sculpture m'a parlé et prétend receler un secret dévastateur, je voulais écrire son histoire vu par le vieil Henri, loin des livres classiques des pèlerins ordinaires qui ne racontent que leur mal aux pieds, problèmes d'hébergement et de nourriture. Un peu plus tard j'ai découvert qu'une certaine personne de mon entourage avait subi des agressions sexuelles dans son enfance et j'ai rencontré un personnage qui entendait des voix dans sa tête qui l'ont forcé à assassiner sa mère de 31 coups de couteau (c’est authentique). Nous voulions également apporter un éclairage nouveau sur certaines énigmes historiques et événements récents bizarres. Tous ces éléments se sont mis peu à peu en place et leur combinaison a donné naissance au personnage d' EDEN. Eden est l'archétype de la jeune femme qui se veut libre, prête à tout pour s'imposer dans un monde encore très macho. Adorable, désirable et détestable à la fois elle emploie des solutions simples pour résoudre des problèmes compliqués.

Cécile : J’en profite pour souligner un détail important, Eden n’est pas du tout autobiographique, croyez moi j’ai encore bien plus mauvais caractère qu’elle et mis à part des araignées et des guêpes je n’ai jamais tué personne (rires). J’avais moi aussi fait en partie le chemin de Saint Jacques de Compostelle, mais en cabriolet, je déteste marcher je préfère tricher, d’ailleurs Eden aussi triche un peu et je dois bien avouer qu’on a mis dans nos personnages une petite part de nous.

Serge : C’est vrai, Michel Ange est un peu ce que je suis, ce que j'aurais parfois aimé être et ce qui va vous étonner, ce que je n'aurais pas pu être, je suis trop raisonnable. Vivre sans folie n'est pas très sage, j'ai pu enfin développer un peu de folie à travers lui. Concernant les autres personnages certains sont des caricatures, d’autres sont inspirés de personnages réels mais dans tous les cas ils sont sortis de notre imagination et ce j’espère pour le plus grand plaisir des lecteurs.

Vanessa : Pourquoi une Trilogie ?

Cécile : Nous avions envie de parler de tellement de sujets que très vite nous nous sommes dits qu’un seul livre ne nous suffirait jamais.

Serge : L'idée d'une trilogie s'est imposée naturellement lorsque nous avons pris conscience que tout ce que nous avions à dire ne tiendrait pas en un seul volume. En fait c'est l'histoire qui nous dirige et nous mène parfois dans des endroits insoupçonnés c'est très amusant.

Vanessa : Cela ne doit pas être facile de décider quel sujet aborder et de quelle façon. La co-écriture n’est-elle pas difficile ?

Serge : Non c’est même extrêmement facile enfin surtout avec Cécile, elle a toujours tort et moi toujours raison (rires).

Cécile : Voilà pourquoi ça fonctionne, avec Serge nous aimons énormément nous amuser et cette aventure, vous l’aurez compris, beaucoup plus difficile pour moi que pour Serge, est des plus enrichissantes.

Serge : Bien entendu Cécile et moi avons des points de vue et des motivations différentes, mais justement, c’est ce qui rend nos écrits si surprenants et différents de ce que vous aurez lu jusque là puisque le mélange des idées est détonnant…Enfin toute modestie mise à part je cite des lecteurs qui nous l’ont exprimé eux même.

Cécile : Tant que nous nous sommes racontés l’histoire, tout était limpide et facile, c’est à la rédaction que tout est devenu très compliqué.

Serge : Au début nous n’étions d’accord sur rien, on s’est même disputé à plusieurs reprises. On restait d’accord sur le fond mais la forme était problématique. Les sentiments, le ton, la vision des choses et la façon d’interpréter nous étaient totalement différents. Finalement nous avons trouvé un mode de fonctionnement qui nous a solutionné tout problème et depuis l’écriture n’est plus qu’un véritable plaisir en plus d’être un bonheur.

Cécile : Voilà c’est simple, Serge a toujours raison et moi toujours tort comme il vous l’a expliqué tout à l’heure (rires). Plus sérieusement, cette co-écriture avec Serge me fait grandir, moi qui ne m'explique rien au fonctionnement des hommes au moins maintenant je respecte leurs différences et leurs points de vue et c’est déjà pas mal.

Serge : Cette expérience a confirmé ce que je pressentais déjà, la seule chose que je comprenne chez les femmes, c'est que je n'y comprends rien.

Cécile : Il n'y a rien à comprendre mais tout à admettre.

Vanessa : Merci à tous les deux, je reviendrais bientôt vous interviewer individuellement pour vous découvrir plus intimement.

Cécile : Oui bien sûr avec plaisir mais honneur aux hommes je vous laisse volontiers commencer par serge.

Serge : Parfait pour moi à très vite alors Vanessa et merci.

Rendez-vous la prochaine fois pour le portrait de Serge en attendant pensez à commandez en ligne le livre premier d'Eden La Trilogie : "Le serpent qui siffle dans la tête". Le livre second sortira courant mai :

Fnac : http://bit.ly/1ZHUAan
Amazon : http://amzn.to/1V45EPX
Chaptitre : http://bit.ly/1VZf4Lu
Decitre : http://bit.ly/23yitXP

 

dimanche 8 mai 2016

Eden et Léonard de Vinci .



  
Le vieil Henri m'a expliqué la chose suivante :
Une légende prétend que, ayant rencontré Eden quelques minutes par hasard, Léonard tenta par la suite d'immortaliser de mémoire sa beauté sur une toile mais il ne parvint qu'à peindre Mona Lisa, bien moins belle que le modèle entrevu.
Depuis  les experts dissertent gravement pour savoir si le sourire de la femme figurant sur le tableau est de la main de Léonard, ou dû à son meilleur disciple qui entre parenthèses se tapait le maître friand de jeunes garçons, ou aux deux.
 A l'époque l'église apostolique et romaine ne badinant pas avec les sodomites lorsque le pape en fonction était hétéro et ne ressentait pas de sympathie pour les vices qu'il n'avait pas, Da Vinci qui n'avait pas encore inondé la planète avec un prétendu code, trouva plus judicieux de se réfugier dans notre belle France gouvernée alors par François premier qui venait de nouer une alliance avec les Turcs pour emmerder le souverain pontife, il fut accueilli à bras ouverts. Il entreprit immédiatement des travaux de construction de machines de guerre.

Et alors là, le vieil Henri a osé m'en faire une  très très mauvaise : c'est en sciant que Léonard de Vinci  
Il a terminé en rigolant : qu'est ce qu'on se marre quand on est très vieux, on nous pardonne tout.
Il est terrible ce vieil Henri, non?

dimanche 1 mai 2016

l' an deux mil et seize, cinq mois, d'enfer viendra la reine d'effrayeur


Nostradamus est mort en 1566.
 La légende prétend que lorsque les révolutionnaires ouvrirent sa tombe en 1793 pour détruire sa dépouille, symbole pour eux de l'obscurantisme de la royauté, sur la poitrine du cadavre  étaient posés deux livres avec la mention manuscrite :
 Messieurs les sans-culottes  lisez les aventures d'Eden , suivie de la date exacte du jour de la profanation.
ça fout la trouille, non ? 

Un des quatrains des Centuries semble prédire exactement la fin du livre second de la trilogie d'Eden jugez plutôt:
La louve jeune le vieux surmontera 
En champ bellique par singulier duel
clairière divine poitrine frappera 
deux classes une puis partout mort cruelle.

 Sacré Nostradamus, on lui fait bien dire ce qu'on veut. hé hé.
Comme dit le vieil Henri " celui qui ne dit que des vérités n'est pas digne de raconter des histoires." 

Ceci dit suivez le conseil de Nostradamus, lisez les deux premiers livres de la trilogie.
Le troisième est en fin de gestation dans le cerveau malade des auteurs .