Une
belle histoire commence toujours par : Il
était une fois ! disait notre mère.
Je l'entends encore raconter avec gourmandise les crimes de la bête du Gévaudan, les forfaits des tenanciers de l'auberge de Peyrebeille ou nous révéler sa vérité sur le mystérieux masque de fer.
Dès qu'elle prononçait les mots magiques " il était une fois ", un grand silence se faisait.Je l'entends encore raconter avec gourmandise les crimes de la bête du Gévaudan, les forfaits des tenanciers de l'auberge de Peyrebeille ou nous révéler sa vérité sur le mystérieux masque de fer.
Assis en rond autour de la table nous retenions notre souffle, ses yeux lançaient des éclairs, des frissons parcouraient ma peau.
Depuis elle est morte et les choses ont bien changé. Les veillées devant la cheminée où chacun dévoilait ses petites peines et les grandes joies de la journée ont disparu.
Pourquoi aller si loin et se compliquer la vie ? Tout près de nous, au plus profond de la mémoire de chaque être humain, dans la vôtre sûrement, se cachent des histoires troubles, drôles, tristes, dramatiques, touchantes, toujours surprenantes.
Au cours de mes longues promenades dans les
bois du pays de Fayence j'ai croisé des gens ordinaires qui m'ont raconté leurs
aventures extraordinaires, moi-même en ai vécu d'incroyables qui valent le
détour et le contour.
Accompagnez-moi et je vous les conterai, je vous mets toutefois en garde elles commencent souvent tranquillement mais le pire n'est jamais loin.
Accompagnez-moi et je vous les conterai, je vous mets toutefois en garde elles commencent souvent tranquillement mais le pire n'est jamais loin.
De
tels voyages se préparent, abandonnez vos écrans addictifs, éteignez votre
télé, vos ordinateurs, tablettes et autres portables, là où nous allons il n'y
a pas de réseau. Chaussez vos baskets,
endossez votre sac et promenons nous ensemble dans la forêt.
Nul loup ni bête du Gévaudan n'y rôde mais restons vigilants, nous ne sommes pas à l'abri d'autres mauvaises rencontres, quelques unes de nos délicieuses compagnes permanentes ou passagères et certains contemporains au-dessus de tous soupçons sont plus pervers que ces sauvages animaux.
Nul loup ni bête du Gévaudan n'y rôde mais restons vigilants, nous ne sommes pas à l'abri d'autres mauvaises rencontres, quelques unes de nos délicieuses compagnes permanentes ou passagères et certains contemporains au-dessus de tous soupçons sont plus pervers que ces sauvages animaux.
Les
Romains disaient: Homo homini lupus est " L'homme est un loup pour
l'homme", ce qui n'est pas un
compliment pour le loup.
Ils auraient dû rajouter : Femina est vita hominis lupus " La femme est une louve pour l'homme " , affirmation guère plus flatteuse pour la louve.
Ils auraient dû rajouter : Femina est vita hominis lupus " La femme est une louve pour l'homme " , affirmation guère plus flatteuse pour la louve.
Que disions nous ? Ah oui : Il était une fois….
La suite :
site auteur : http://serge.boudoux.fr
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