mercredi 26 août 2015

interlude

Puisqu'on est entre nous, je vais vous confier quelque chose mais vous ne devrez pas le répéter, il faudrait que ça reste entre internet et nous.
Lorsque M A est arrivé, il m'a dit que la belle Eden n'avait pas pu venir me voir parce que sa maman était souffrante.
Il était sincère mais ne savait pas la vérité.

J' ai appris la réalité bien plus tard . Eden n'était pas en Auvergne pour soigner sa mère, elle était à New York et participait à la plus grande machination de ces quinze dernières années. Cherchez ce qui s'est passé à New York début mai 2011 et lisez le second livre sur la vie d'Eden, vous allez halluciner.

Une petite fable amusante  bien connue de la mythologie grecque se révèle être très actuelle pour qui sait lire entre les lignes.
 Icare prisonnier du labyrinthe construit par son père l'architecte Dédale colla des plumes sur son corps pour s'évader par les airs.
Grisé par le vol il s'approcha trop près du soleil, la cire servant de colle fondit et il tomba dans la mer qui porte désormais son nom, la mer Icarienne , il s'y noya.
Outre le fait que les lois les plus élémentaires de la physique interdisent un tel vol, il est à remarquer que plus on prend de l'altitude plus il fait froid, la légende est donc doublement fausse. Néanmoins la métaphore est juste : en se rapprochant du pouvoir sans précaution les imprudents se brûlent les ailes, leur chute est alors brutale et destructrice.
Mais chut....je ne vous ai rien dit.

A demain.. peut-être.

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