samedi 3 octobre 2015

le chemin meurtrier ( 16 ) raconté par le vieil Henri

Lorsque j'ai lu le livre relatant les aventures d'Eden , j'ai été sidéré par la fin que je n'ai absolument pas vue venir malgré les nombreuses pistes laissées par les auteurs. Si vous le lisez, regardez bien chaque situation et dites moi si vous avez trouvé l'astuce.
Je reviens à la suite des évènements.

La petite écossaise provoque Eden:
- On partage tout même mon mari, j'ai très envie de toi.
Eden s'embrase, le serpent s'excite - emmène les dans ta chambre et fais toi plaisir, regarde comme elle est mignonne et lui plutôt beau gosse , vas-y tu vas jouir comme jamais .
Elle les pousse en titubant jusqu'à sa chambre, son sac est ouvert , on voit distinctement son couteau. Sa tête tourne, son corps s'enflamme, elle a envie de sexe, pour elle c'est la nuit de tous les excès.
Elle s'allonge sur le lit, quatre mains la déshabillent fébrilement,  deux langues  lèchent son corps, sa peau brûle, elle ne sait plus où donner de la bouche, elle découvre le plaisir à trois.
Le mari pénètre sa femme , Eden la caresse, l'embrasse, elle hurle, l'homme se retire doucement, passe derrière Eden accroupie sur la femme et la pénètre à son tour . La femme glisse sous Eden, prend dans sa bouche son petit abricot, léchant le sexe de son mari à chaque va et vient et introduit son doigt là où seul M A était allé.
Eden ferme les yeux, elle imagine qu'elle fait l'amour avec M A et retrouve cette sensation si particulière qu'il est seul à lui procurer, elle jouit simultanément de toutes les parties de son corps en hurlant. L'homme éjacule sur les deux femmes comme il a vu faire un hardeur dans un film porno, ce soir c'est le rôle de sa vie, le Rocco Siffredi écossais prend un pied magistral.
 Ce sera le dernier de sa vie.
L'alcool, le cannabis, le sexe, tout le monde s'effondre et s'endort...

 Quand Eden m'a raconté son aventure elle m'a considéré comme son grand- père, son confident, son ami, elle n'a pas compris que j'étais avant tout un homme. Un vieux peut-être mais l'une des grandeurs de l'être humain c'est son envie d'aimer jusqu'à son dernier souffle, j'ai eu très mal en entendant son récit et j'ai commencé à la détester. Je ne sais pas jusqu'où ira cette détestation . En attendant , en écrivant ces quelques phrases j'ai eu chaud et malgré mon grand âge il me semble bien que j'ai eu un potentiel érectile, hé hé.

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